Il y a des semaines qui coulent moins facilement que d'autres, on pourra dire que les deux dernières ne rentrent pas dans cette catégorie. En effet, plusieurs petits tracas se sont additionnés dans mon cerveau qui n'en demandait pas tant pour créer ce qu'on appelle couramment une "grosse déprime" (pour les termes techniques, au lieu de vous écrier 'c'est pas faux' à chaque phrase, je vous renvoie à l'excellent dictionnaire du docteur Wahteufilingue : "Boukak, Bergamote et Boulimie : le lexique des mots cons commençant par B")
J'ai vu la vie en noir-gris foncé ces derniers temps et ça n'a absolument rien de plaisant. Surtout quand on a la larme à l'oeil à la moindre petite connerie...
La raison principale de mon mal-être : mes études qui sont pour l'instant au point mort faute de motivation. Il faut dire, à mon crédit, que je ne trouve pas hyper-passionnant la recherche bibliographique qui peut se résumer en trois points :
- je prends un livre
- je lis le résumé, voire quelques pages
- je décide si ce livre peut me servir dans mes futures recherches
Y'en a qu'ont pris leur pied pour moins que ça, mais je ne suis pas un homme facile !! Il en faut plus pour m'attirer que du miel en pot (ou un pot de miel, à vous de choisir mais c'est bonnet blanc, blanc bonnet). Bref, autant l'année dernière j'adorais ce que je faisais (recherche, analyse, hypothèses), autant là j'ai l'impression de ne servir à rien, de ne pas progresser et pire ! de ne pas réfléchir. En un mot comme en cent : frustrant !! Mais bon, tout devrait s'arranger puisque je vais bientôt voir mon prof qui m'a déjà expliqué que ma réaction était normale et que tout le monde était passé par là. Reste à retrouver la gnaque...
Ajoutez à cela un temps morose, un blocus bidon, de petites engueulades de couple qui n'arrangent rien, et vous avez tous les ingrédients de la bonne déprime à Mémé.
Heureusement, et je ne les remercierai jamais assez de leur constant soutien, les amis sont là et ça fait du bien de pouvoir se livrer sans honte. Preuve que, seul, on n'arrive jamais à grand'chose.
Sinon, là, ça va mieux, il fait presque beau, j'ai retrouvé mon appétit, je suis encore et toujours amoureux, et la vie est pas si grise que ça...
J'ai vu la vie en noir-gris foncé ces derniers temps et ça n'a absolument rien de plaisant. Surtout quand on a la larme à l'oeil à la moindre petite connerie...
La raison principale de mon mal-être : mes études qui sont pour l'instant au point mort faute de motivation. Il faut dire, à mon crédit, que je ne trouve pas hyper-passionnant la recherche bibliographique qui peut se résumer en trois points :
- je prends un livre
- je lis le résumé, voire quelques pages
- je décide si ce livre peut me servir dans mes futures recherches
Y'en a qu'ont pris leur pied pour moins que ça, mais je ne suis pas un homme facile !! Il en faut plus pour m'attirer que du miel en pot (ou un pot de miel, à vous de choisir mais c'est bonnet blanc, blanc bonnet). Bref, autant l'année dernière j'adorais ce que je faisais (recherche, analyse, hypothèses), autant là j'ai l'impression de ne servir à rien, de ne pas progresser et pire ! de ne pas réfléchir. En un mot comme en cent : frustrant !! Mais bon, tout devrait s'arranger puisque je vais bientôt voir mon prof qui m'a déjà expliqué que ma réaction était normale et que tout le monde était passé par là. Reste à retrouver la gnaque...
Ajoutez à cela un temps morose, un blocus bidon, de petites engueulades de couple qui n'arrangent rien, et vous avez tous les ingrédients de la bonne déprime à Mémé.
Heureusement, et je ne les remercierai jamais assez de leur constant soutien, les amis sont là et ça fait du bien de pouvoir se livrer sans honte. Preuve que, seul, on n'arrive jamais à grand'chose.
Sinon, là, ça va mieux, il fait presque beau, j'ai retrouvé mon appétit, je suis encore et toujours amoureux, et la vie est pas si grise que ça...